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Mais à quoi pense ce corbeau? Bonne question. Elle n'est pas très expressive et ne montre pas vraiment à quoi elle pense, elle peut cependant jouer de son apparence de petite fille en battant des cils comme un chien battu. Ce qu'elle aime? Les sucreries! Son plus gros péchés mignons, la jeune fille aime particulièrement les sucreries de la cité c'est pour cette raison qu'elle supplie souvent les messagers pour lui en ramener quelques-une en cachette. Victorica affectionne les peluches qu'elle collectionne dans sa chambre, elle aime les vêtements gothique-lolita et les corbeaux.
Passons maintenant à ce qu'elle n'aime pas. Les plats épicés ou trop salés, les vêtements trop simples ou encore que l'on blesse un corbeau. Elle déteste les anges, les trouvant trop blancs.
Niveau caractère, elle ne se fait que très peut remarquer et n'aime pas vraiment aller vers les gens sauf dans certain cas. Elle adore qu'on la porte comme une enfant et qu'on s'occupe d'elle. La jeune fille aime la vue du sang et regarder un combat, du moment qu'elle n'y participe pas. Elle est froide envers les gens qu'elle ne connait pas et sadique envers ses ennemis. Mystérieuse à souhait, la jeune fille au fond admire beaucoup de personne mais en secret. (9 lignes complètes minimum)

Elle n'est pas puissante mais sait tout de même se défendre dans ce monde de brute. Victorica possède donc tous ses pouvoirs grâce à ses ailes dans son dos qui lui servent pour tout. Que ce soit pour se protéger en faisant une barrière avec celles-ci ou pour voler. Perdant énormément ses plumes, elle s'en sert pour les lancer telle des shurikens sur sa victime, classe non? Néanmoins, elle garde plusieurs couteaux dans les doublures de sa robe. (4 lignes minimum)

Mon histoire n'est pas plus passionnante que d'autres mais comme il faut bien la raconter, je vais le faire.
Je suis née en Angleterre dans une famille bourgeoise. J'habitais dans un vaste manoir dans le centre ville. J'étais la cadette d'une famille de deux enfants et contrairement à ma soeur aînée, j'étais chouchoutée par mes parents qui voyait en moi toutes leurs espérances. Entre les cours de diverses instruments de musique, de danse, les études et d'autre passes temps que mes parents trouvaient essentiels pour mon éducation, j'aurai pu être la plus heureuse des petites filles mais ... ma soeur elle n'était pas de mon avis. Je ne savais pas pourquoi mais elle était rejetée de mon père, quant à ma mère elle ne lui accordait que très peut d'importance mais pour moi, ça ne me gênait en aucun cas qu'elle souffre et pas moi.
Lors d'une soirée mondaine que je trouvais bien que trop ennuyante à mon goût, ma soeur me proposa de faire une petite promenade en ville histoire de se divertir un peu plus, j'accepta alors sans rechigner sans me soucier de ce qu'il allait m'arriver.
Nous sommes donc sortis, elle et moi, libre comme l'air visitant toutes les boutiques de cette grande ville qu'est Londre. Le bonheur complet. Que manquait-il de plus ? Pour ma grande soeur, il lui manquait un jeu. Cache-cache bien évidement, enfantin à souhait mais tellement amusant à faire lorsque l'on ne connait pas l'endroit. C'était mon tour de compter, me plaçant devant une échoppe de breloques inutiles, je commençais alors à exprimer mes chiffres. Ma curiosité me poussa à ouvrir les yeux tout en comptant, quand j'eu finis. Je me mis à la chercher, encore et encore, pendant plusieurs jours mais je ne l'ai jamais retrouvée. Je décidait alors de rentrer à la maison, mais je ne savais plus la route. C'est alors que je me mis à mourir de faim, de soif, vivant à présent comme une clocharde, je n'avais plus rien à manger.
Un matin alors, après avoir dormis dans ces sombres rues de Londre, un corbeau, souffrant en face de moi. Je le pris dans les bras en me disant que cet oiseau était en aussi piteuse état que moi, je pensais alors à mes parents et à ma soeur, en me disant que j'étais bien trop égoiste envers elle, mais elle le méritait bien non?. C'est alors que je m'endormi, pour ne jamais me réveiller dans ce monde.
Je fus accueillis par un grand homme vêtu de noir, m’emmenant dans son manoir remplit de créatures étranges. Une douleur dans le dos, des ailes noires. J'ai alors compris que je faisais maintenant parti de ces étranges créatures. (15 lignes complètes minimum)