Aélys est une jolie femme, avec un corps svelte et nerveux, malgré qu'elle est taille moyenne, 1m 67, tout au plus. Elle porte une poitrine étroite et un cou mince. Ses yeux comporte de longs cils avec des prunelles dorées. Elle a un petit nez fin et légèrement courbé. Elle a un menton saillant, en galoche, soulignant sa finesse. Elle porte des cheveux bruns fins et soyeux...  Elle a une coiffure plutôt compliqué à décrire... Elle porte une frange carré, légèrement remontée sur les deux côtés dû à ses cornes. Un frange légèrement en dégradé. Puis, elle porte derrière, un long dégradé de cheveux allant jusqu'à son bassin, voir même un peu plus bas. Au bas de son dos elle a une petite queue d'hybride, une petite queue touffue et courte, une queue d'un animal à corne. Elle porte aussi au sommet de son crâne deux cornes plates, beiges légèrement courbés vers l'arrière et traversées par une ligne suivant les cornes. Elle porte aussi des oreilles touffues, horizontale et brunes comme ses cheveux. Elle peut les bouger dans tout les sens, comme sa queue, mais généralement, elle garde ses oreilles plaqués vers l'arrière, signe de méfiance. Elle porte généralement des habits d'influence arabe/indien comme des voiles, enfin, surtout un qu'elle porte légèrement au dessus de son nez, descendant jusqu'au cou. Aussi, elle porte souvent des vêtements dévoilant son ventre. Pour autant, elle aime le brun, et en porte beaucoup.
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Je suis quelqu'un de réservée, pour cela, je me cache dans une carapace où je suis une personne hautaine et froide. Je n'accorde pas ma confiance facilement, tu peux le croire. Je suis, aux premiers abords, une personne droite et pudique... Pourtant, j'adore être choyée, séduite, et courtisée... Je suis tout de même sensible et d'une sentimentalité contrôlé par mon sens analytique et froid de la situation faisant de moi une femme calculatrice. Je suis patiente, persévérante et armée d'auto-contrôle, permettant de freiner mes élans et mes passions, afin de ne pas me laisser berner par d'autres illusions. Je suis une personne confiante, et diplomate, bien que je sois sceptique et morale... En effet, j'aime m'appuyer sur des choses concrètes, expliquant mon manque d'originalité. Je suis quelqu'un d'astucieux et rusée, me permettant de me tenir à des choses morales et m'évitant ainsi des situations embarrassantes. Je suis une personne de confiance, consciencieuse et diplomate. J'ai tout de même quelques défauts, même si je n'aime pas les énumérer... Je suis une fille curieuse, et assez possessive tout compte fait... Je souries difficilement avec des inconnus, mais il m'arrive quand même de sourire un peu avec les autres personnes de mon entourage.
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J'ai une force surhumaine, sûrement dû à mon croisement au capricorne. Je saute aussi très haut, et je glisse rarement, ayant un fort sens de l'équilibre grâce à mon croisement. Comme je suis croisée, j'ai des cornes et une queue, cornes qui, ne font pas dans la dentelle lorsque l'on se prend un coup d'elles. Je peux donc foncer sur un ennemi avec une très grande vitesse et force. Je crains le feu, et non pas l'eau et la glace, car j'en suis plutôt habituée. J'ai aussi un arc taillé avec dessus, différentes décoration, comme des arabesques peintes... J'ai aussi un carquois, qui, contient évidemment des flèches. Je vise très bien à l'arc, je l'utilise donc assez souvent.
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Je suis née au printemps... Vous n'avez pas besoin d'en savoir plus sur ma naissance. J'ai été élevée dans une famille adoptive, du coup, je n'ai pas été élevée dans mon pays d'origine, j'ai été élevée dans l'Asie, je suis indienne donc. Je ne connais pas mes vrais parents, je suppose que ce sont des français... Ils ont laissés à ma famille adoptive une grosse somme d'argent afin de m'élever correctement. Tout les mois, ils recevaient de la monnaie par lettre. Là-bas, j'étais choyée. J'étais considérée comme riche là-bas... Il faut dire que je ne manquais de rien, de plus les gens me trouvaient très belle... Et j'aimais beaucoup cela. Très tôt, on m'a appris la danse, et, j’apprenais donc la danse indienne avec ardeur. C'était ma passion et ça l'a toujours été. Je m’entraînais régulièrement. Mes parents adoptifs m'interdisaient d'aller dehors, pourtant je le faisais souvent, ils ne voulaient pas que je sorte seule, il voulait une personne de confiance pour m'accompagner dehors, parce que, eux, ne le pouvait pas à cause du travail. Mes parents? Ils ne m'aimaient pas vraiment. A proprement parler, ce n'était pas 'aimer'. Ils s'occupaient de moi, correctement, mais clairement, ils ne m'aimaient pas. Vous connaissez le dicton "L'argent ne fait pas le bonheur." Eh bien, ça s'appliquait chez moi. Malgré mes multiples jouets, j'étais seule. Très seule. La solitude me déchirait. Mes parents, ils travaillaient toute la journée, je ne les voyais que très tôt le matin et très tard le soir. Puis, le jour de mes 9 ans, je m'enfuis de chez moi. Puis, ça devenait de plus en plus récent. Je sortais souvent seule, et je savais que je ne pouvais pas continuer comme cela. J'habitais dans un petit village, alors tout le monde connaissait tout le monde, et les rumeurs tournaient vite. Un jour, une personne étrangère vint dans notre village. Je voulais la voir, et je partis donc, faisant le tour du village seule... Et je le vis. Il était très beau, et il avait des cheveux bleus. J'étais très attirée par lui, sûrement à cause de sa couleur de peau; lui aussi était blanc, comme moi. Alors, je n'étais pas la seule "intruse" au village. Je fis plus ample connaissance avec lui. Je l'affectionnais tout particulièrement, comme un frère... Et peut-être plus...? Non. J'étais très proche de lui. Mais ce n'était pas de l'amour. Je l'invitais souvent chez moi, il brisait ma solitude, j'étais heureuse. Puis, à force, j'ai commencée à lui proposer un job; mes parents ne voulant pas que je sorte dehors seule, ce serait donc lui qui m'accompagnerait. Il accepta avec joie. J'en étais heureuse. Alors, je lui tenais le bras, et j'allais dehors, achetant des fruits et autres choses inutiles... Mais un jour... Il ne vint pas... Alors que tout les jours il venait à la maison... On dit d'abord qu'il était malade... Puis une rumeur se fit entendre, comme quoi, Julius, serait repartit en France... Et ce, par la faute d'une femme du village. Je savais qui c'était. Cette femme était ma voisine. Je savais que c'était sa faute, car le soir; j'allais chez elle, et elle m'avoua tout, absolument tout... Quelle idiote! C'est elle qui a renvoyée Julius en France... Elle lui avait dit "Va-t-en d'ici, tu n'as plus rien à faire, merci de nous avoir rendue service avec l'argent mais... Tu dois partir, ici on n'aime pas les blancs... Aélys en est la preuve vivante! Des gens cherchent à l'assassiner... Et toi aussi... Le mieux que tu puisses faire, mon petit, c'est de partir en France." Alors, il était partit presqu'aussitôt, sans laisser un seul mot, rien. Vraiment! Ainsi, je partis de chez cette vieille folle, en rage et en pleurs. Je l'aimais beaucoup. Julius. C'était juste le frère qui me manquait. Cela m'avait fait comme une déchirure lorsque j'ai sus sa disparition. J'ai tant pleurée pour lui, j'ai tant pleurée... Mais mes larmes ne servent à rien... Et dire, que je n'avais même pas d'adresse pour lui écrire, ni même pour le téléphoner... J'étais de nouveau seule, et personne avec qui parler, et échanger... Je n'avais plus la force de sortir dehors, et mes parents, lorsqu'ils me voyaient, ils ne disaient rien, m'ignoraient presque. Le temps passa, et sentimentalement parlant, ça ne c'était pas arrangé. J'avais alors décidé, de la tuer. A ce moment, je n'étais pas moi-même. J'étais guidé par ma haine et mes pleurs, sans prendre en compte les actes et leurs répercutions. Je pris mon arc, mes flèches, et mon carquois, avant de partir. De loin, perchée sur un arbre, je voyais cette femme, odieuse, qui m'avait enfermée dans la solitude... Un sourire sadique s'installa sur mon visage, et je tira. La tension du fil de l'arc s'estompa et doucement et silencieusement, la flèche atteignit le coeur de la jeune femme. L'imbécile... Elle tomba lourdement sur le sol, agonisante. Je descendis de l'arbre et partit. Ce fut la dernière fois que je sortis dehors, à partir de maintenant. Le soir-même, je m'enfermais dans ma chambre, et écrivais des lettres, à l'attention de tout le monde. Père, mère, ainsi qu'à Julius, même si, je savais qu'elles ne lui parviendraient jamais. Je faisais comme si de rien n'était... La rumeur que ma voisine était morte fit rapidement le tour du village, mais je n'étais pas la seule à la détester, bien heureusement, elle était détestée de tout le village par sa méchanceté et sa langue de vipère... Je n'étais donc pas la première suspectée... En fait, je n'étais jamais suspectée... Peu de gens me connaissait comme une bonne tireuse à l'arc, voire même personne... Pas même mes parents adoptifs. Alors, personne ne pouvait savoir. Mais la pression est souvent trop lourde. La perte de Julius et la mort de ma voisine m'ont tellement oppressés... Je mis fin à ma propre vie, doucement... J'écrivis une dernière et énième lettre à Julius, ainsi qu'à mes parents, avouant tout mes faits.... Puis, je m'enfonça une flèche dans mon propre coeur... La fin... Je vis alors Saytan, et il me proposa de devenir une démone. Je soupira, et accepta, sans plus.
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