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 |  Sujet: Luce • Terminé !  Sam 22 Juin - 18:04 | |
| ▬ Hellow mon grand ! Moi c'est " Luce " ! ♦ Tomber est permis ; se relever est ordonné.
♣ feat : Bad End Peace ; Smile Precure ▬ Des trucs en vrac sur votre personnage
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• NOM : Luce l'a oublié, mais son nom était "Adams"
• PRÉNOM : Autrefois nommée Lucie, son nouveau prénom n'est pas bien différent... Luce.
• ÂGE : 15 ans, presque 16.
• GROUPE & RACE : Humain du Manoir
• MÉTIER (facultatif) : Pour l'instant aucun
• ORIENTATION SEXUELLE : Hétéro'
• RANG (affiché sous l'avatar) :
- Code:
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« On n'est heureux qu'après la mort »
...Why not ? ♦
• RP AVEC UN GUIDE ? : Ouaip o/
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▬ Description Physique Luce est une jeune fille dans la fleur de l’âge, dont les traits doux lui donne un petit côté androgyne malgré sa silhouette fine et élancée prouvant de sa féminité. Sa peau est d’une pâleur accablante, si bien qu’on pourrait la croire malade ou souffrante si elle n’était pas toujours en train de sautiller partout avec un ravi. Aussi, il est important de préciser qu’elle est bien jolie. Peut-être pas dans le goût de tous, certes, mais elle est jolie. Pas belle non plus, j’insiste, juste jolie. Parce que « mignonne » la blessera presque pour le rapport lointain que ça donnera à un enfant, et « belle » sera exagéré étant donné qu’elle ne se cache pas sous trois tonnes de maquillage. Mais attention, je ne dis pas que toutes les filles belles sont ainsi, n’est-ce pas ? Pour commencer, ce qui tape le plus à l’œil lorsqu’on la voit pour la première fois. Ses yeux. Pétillants de vie malgré sa mort récente, et surtout, l’impression qu’ils donnent de briller comme deux phares dans la nuit, comme les yeux d’un félin dans l’ombre. On peut le dire, son regard est de ce fait captivant. Une fois qu’elle nous regarde, il est presque impossible de la lâcher tant ses yeux semblent réellement briller. Effet d’optique, yeux anormaux ? Ne lui posez pas la question, elle n’en a strictement aucune idée. Dans tous les cas, faites attention à ce regard-là, car pendant que vous êtes occupés à la fixer quelques mains habiles baladeuses pourraient bien vous détrousser un ou deux accessoires de valeurs… Outre ses yeux plus qu’étranges, il y a sa longue chevelure dorée qui ressort beaucoup dans son cas. En effet, elle possède une étrange coiffure qui aura tendance à attirer le regard : une queue de cheval haute maintenant grâce à cette tresse bien droite et la pointe des cheveux qui semble revenir inexorablement vers elle. Trois mèches, une à gauche, une au milieu et une à droite, entourent son visage souriant et masquent légèrement ses yeux. Elle ne les porte que rarement détachés, et lorsque c’est le cas, ils lui arrivent à peu près aux fesses. Côté vestimentaire maintenant… La demoiselle porte des habits le plus souvent dans des tons sombres, comme le noir ou simplement le gris, mélangés à une couleur bien plus vive : le plus souvent du jaune. Sa tenue favorite comporte d’ailleurs cette couleur accompagnée du noir. C’est tout simplement une robe noire aux manches amples dont le bout est doré de petites vagues, de même pour le bout des pans de la robe en elle-même. Des collants noirs, parsemés de carreaux jaunes, protègent ses jambes du froid et se confondent avec sa paire de chaussures à talon de couleur identique. Le tout est accompagné de quelques petits accessoires tels que la barrette en topaze que deux ailes de chauves-souris entourent ou bien des petites boucles d’oreilles en or très discrètes. Il lui arrive de rajouter avec tout cela un peu d’eye-liner orange sur ses paupières, lorsque l’envie lui prend… ▬ Description Mentale Luce était autrefois quelqu’un qui pleurait beaucoup, pour un rien, qui se taisait quand on l’insultait et se sentait blessée lorsqu’on la jugeait. Elle avait peur du regard des autres et n’osait s’affirmer à cause de cette crainte. Si on disait cela d’elle aujourd’hui, personne n’y croirait tant elle a changé. Tout d’abord, il faut savoir que la jeune fille est tout sauf une pleurnicheuse. A moins de verser des larmes dans le but de vous attendrir et de mieux vous poignarder dans le dos, vous ne risquez pas de la voir triste. En effet, si vous prenez le risque de lui sortir quelques mots déplaisants, attendez-vous au pire. Quoi que, pas encore. Avant de s’énerver, de vous frapper à mort, de vous mener la vie dure au point que l’envie de suicider vous prendrait, elle vous donnera un avertissement. Un seul. Tout simple, tout gentil, sans sous-entendu. « Arrête ça ». Ou une phrase dans ce genre. Là, si vous avez l’intelligence de vous arrêter là et de vous en aller après une excuse bien formulée, elle fera comme si elle ne vous aura jamais vu. Au contraire, si vous continuez sur votre lancée, prenez garde. Sa colère part vite et est terrible. Les éclairs risquent de pleuvoir, et les injures également. Oh, mais rassurez-vous, ce n’est pas non plus une grosse brute sans cœur : elle saura s’arrêter à temps avant de vous tuer. En attendant, elle se contentera de la torture psychologique. Quoi de plus normal, n’est-ce pas ? Vous ôter une fois de plus la vie serait trop simple à son goût, ce ne serait pas digne de sa vendetta. Sans compter que sa vendetta, elle est tenace et durable. Alors, je vous le jure, évitez de vous la mettre à dos. Sauf si vous avez des envies suicidaires, cela va de soi. Mais qui serait assez fou pour se livrer à elle ? Sans compter que si elle découvre que vous ne voulez que mourir, elle vous fera la moral sur l’importance de cette deuxième vie et s’en ira après vous avoir donné un ou deux coup, pour le plaisir dirons-nous. Puis, je vous le disais plus tôt, l’adolescente n’est pas un monstre. Si vous l’abordez poliment, gentiment, sans avoir l’air de préparer un mauvais coup, elle vous accueillera avec un grand sourire. Non, je n’exagère pas, un grand sourire. Car les sourires, c’est sa spécialité : sourire amusé, joueur, sincère, hypocrite, sadique, cruel et j’en passe. Ainsi, si elle ne montre pas aisément ses émotions à travers son regard ou qu’aucun sentiment ne traverse la lueur folle dans ses yeux, fiez-vous à son sourire : il ne trompe jamais. Même s’il faut le dire, elle n’a pas la langue dans sa poche et clamera haut et fort ce qu’elle pense, peut importe les conséquences. Insouciante ? Oui, très certainement. Il est possible qu’il y ait un peu de courage là-dessous quand on y pense, mais les risques énormes qu’elle est capable de prendre juste en exprimant son opinion –imaginez un peu quand elle passe à l’acte- nous font plutôt penser à de la témérité pure et simple. D’ailleurs, c’est sa franchise naturelle qui fait qu’on l’aime de suite, ou au contraire qu’on ne la sent pas. Passé cette première impression, vous découvrirez rapidement une amie particulièrement joueuse et adepte des paris et combats en tout genre, à moins de vous être fait une ennemie amatrice de mauvais tours et d’insultes de tous les horizons. A votre place, je choisirais la première option. Parce que cette dite première option, elle vous permet d’acquérir un allié de poids. Elle a beau être destinée à se rendre au Manoir à cause des récentes années passées à se consacrer au trafic de drogue, aux vols et tout dernièrement au meurtre, elle reste loyale jusqu’au bout. Si elle se lie d’amitié avec un Ange, jamais elle n’oserait lever la main sur lui. De même si c’est un Démon, un Archange, un autre humain et j’en passe. Elle se fiche totalement des différences de races et de leur relation, elle agit en feeling. Si elle tient suffisamment à vous, elle vous protègera de sa vie si nécessaire. Elle vous vengera des méchants pas beaux qui vous ont insulté et blessé. Elle ferait tout pour vous. Mais n’abusez pas de sa confiance quasi inégalée, car elle ne l’offre qu’une fois. Trahissez là une, je dis bien une fois, et vous deviendrez son pire ennemi. Pire qu’une peste, dans ce cas-là, je peux vous l’assurer… Oh et puis, il y a bien un dernier détail à savoir à son sujet. Mademoiselle, en plus d’être un journal intime sur patte, garde très bien les secrets. Et, en total opposition, c’est une commère qui connaît à peu près toutes les rumeurs de la ville et même des environs. Ce qui fait donc d’elle une excellente informatrice, tant que cela ne concerne pas des secrets concernant ses amis. Si vous avez un pari qui lui semble intéressant, un jeu dont le gagnant récupèrerait quelque chose d’unique, et que vous êtes à la recherche d’informations en particuliers, n’hésitez pas à venir la voir. Et même si elle ne possède pas l’information dont vous avez besoin, je peux vous dire en toute franchise qu’elle se démènera pour respecter son engagement. Car elle n’aime pas mentir, pas plus qu’elle aime qu’on lui mente. Aussi, petits voyous se croyant suffisamment malins pour la duper, passez votre chemin ! Il est dur de la prendre lorsqu’il s’agit de jouer et de parier, mais si vous parvenez à la duper, je vous conseille de vous planquer au fin fond d’un labyrinthe inconnu de tous pour ne plus jamais la croiser. Oh, ai-je également précisé qu’elle était mauvaise perdante… ? ▬ Pouvoirs & Arme Tout d’abord, il faut savoir que la bague qu’on a offerte à Luce –ou plutôt qu’on va lui offrir- est ornée d’une topaze aux teintes légèrement ambrées de la taille d’une bille, où des motifs spiraux sont inscrits.
Celle-ci lui donne un pouvoir très spécial, qu’on qualifierait plutôt de « passif ». Celui d’annuler celui des autres, qu’ils soient humains, Anges, ou Démons.
Pour mieux comprendre, il suffit d’imaginer un cercle d’environ cinq à sept mètres autour de la jeune fille. Quand quelqu’un entre dans ce dit cercle, il devient incapable d’user de ses pouvoirs tant qu’il y restera. Les personnes qui perdent ainsi leurs pouvoirs le sentent, soit pas des frissons, un mauvais pressentiment, une impression de déjà-vu ou d’avoir oublié quelque chose. De ce fait, pour engager un combat en utilisant ses pouvoirs contre elle, il faut obligatoirement se placer assez loin d’elle afin de l’attaquer à distance. Néanmoins, ne vous attendez pas à ce qu’elle attende gentiment que vos projectiles l’atteigne : de son vivant elle pratiquait énormément de sports de combat, et de sports tout court. Quelques bribes de souvenirs lui reviennent parfois à ce sujet, sans compter que son corps, lui, se souvient parfaitement de cette époque. Alors instinctivement, elle sera capable de se battre à main nue avec beaucoup de force, tout en esquivant ou contrant pas mal d’attaques. Bon, rappelons-nous que c’est une humaine, alors face aux Démons et aux Anges, elle aura malgré tout un peu de mal à tenir. Sauf si ces derniers ne se sont jamais battus de leur vie sans pouvoirs… Mais ce serait étonnant venant de tels êtres, n’est-ce pas ? Quoi que venant des Anges, cela ne l’aurait pas tant surpris, vu leur côté pacifiste.
En revanche, face aux humains et plus généralement face à tous ceux qui ne parviennent pas à se battre sans leurs pouvoirs, elle devient une redoutable adversaire. J’espère que vous n’avez pas peur de vous prendre quelques poings bien placés, car les coups pleuvent avec notre amie !
Il serait également bon de préciser que la demoiselle est incapable de « choisir » celui à qui elle retirera ses pouvoirs. Donc si un allié pénètre dans le fameux cercle, il sera lui aussi pénalisé. Il faut avouer que c’est parfois un peu embêtant pour elle… Mais bon. Elle arrive à s’en sortir malgré tout. Et autre point important : les hauts gradés, comme les Démons supérieurs ou les Archanges verront leurs pouvoirs s'affaiblir jusqu'à voir leur niveau de magie semblable à celle des Anges et Démons normaux.
Pour ce qui est des armes... Elle n'en a aucunes en particulier, et elle ignore totalement comment s'en servir, comme elle se bat toujours à main nue. Quelqu'un pourrait peut-être un jour lui apprendre à se servir d'une arme, qui sait ? Mais en attendant, elle se limite aux couteaux de cuisine et aux poings. Un bon début malgré tout.
▬ Tell me your death Luce, aussi surprenant que ce soit, ne se souvient pas de son passé. Elle ignore où elle est née, comment elle a vécu et avec qui. Seuls quelques bribes de souvenirs lui permettent d’affirmer qu’elle a vécu au Japon et que ses parents étaient des personnes relativement riches, et que ses relations avec autrui étaient plus que compliquées étant donné son « ancien » caractère, celui d’une incapable et d’une pleurnicheuse –comme elle le dit si bien. Ces vestiges de son passé, elle les garde en mémoire depuis qu’elle est arrivée sur ce mystérieux chemin aux couleurs sombres, autrement dit depuis quelques minutes à peine. La vérité, elle ne la découvrira certainement jamais. A moins de s’acharner à la tâche… Or, c’est encore loin d’être son objectif premier. Après tout, son arrivée au Manoir, officiellement du moins, ne s’est pas encore fait, n’est-ce pas ? La jeune fille naquit dans une famille où l’argent coulait à flot. Aussitôt ses souhaits demandés, ils étaient exaucés dans la plus grande docilité par ses « serviteurs », comme elle les appellerait aujourd’hui. Et grâce aux facilités financières de ses parents, elle ne manquait de rien. Ou presque. En effet, malgré les apparences, ceux-ci étaient régulièrement absents à cause de leur travail très prenant. Ils ne furent donc jamais au courant de ce que faisait leur enfant, si bien qu’elle finit par penser qu’ils ne s’intéressaient guère à elle. Alors elle se faisait toute petite. Peut-être trop. Elle manquait de confiance en elle, car jamais on ne l’avait complimenté sur ses efforts et ses talents, à l’école ou dans ses prouesses sportives. Et ses camarades, me demandez-vous ? Ils la mettaient à l’écart, ils se moquaient d’elle et la reniaient, car elle était l’héritière d’une famille riche. Le gouffre était trop grand entre ceux qui vivaient normalement et elle. Raison pour laquelle elle fut rejetée pendant toute son enfance et plus longtemps encore. Les seuls moyens qui lui permettaient de se défouler et de se sentir plus ou moins acceptée étaient le sport. En effet, tout ce qui touchait de loin ou de près au combat, aux acrobaties et à ce genre de choses la fascinait et lui donnait la curieuse mais compréhensible envie de les imiter. Il n’y a pas de secrets pour reproduire des actions quasi héroïque de grands sportifs : l’entraînement. Alors tous les soirs, après l’école, elle se rendait à ses cours de gymnastique, de judo, de karaté… La discipline changeait chaque jour, lui permettant de varier les plaisirs. Néanmoins, en sachant cela, ses camarades ne faisaient que l’éloigner encore plus, car aucune famille normale n’aurait pu se payer ce luxe. Et elle grandit longtemps de cette façon, rejetée par la plupart, ou adorée par quelques lèches bottes aux attentions douteuses. Trop pleurnicharde pour protester, trop timide pour prouver du contraire, elle se sentait mal dans sa peau et à juste titre… Sa vie fut néanmoins bouleversée dans une période qu’elle traversa lors de ses quatorze ans. Sa famille était ruinée. Ses parents ne cessaient de s’endetter grâce à des personnes dont le travail et les échanges illégaux les mettaient dans une situation plus que délicate. Elle-même fut confrontée à ces gens, ignorant tout de leur rôle dans la caisse bancaire de son père et de sa mère et de ce qu’ils devaient faire en échange. Elle apprit à les connaître et à les détester pour leurs mauvaises manières et les regards aiguiseurs qu’ils lui lançaient. Mais encore bien trop faible pour les repousser, elle ne faisait rien. Un an passa de cette façon. Dans toute l’Histoire du Monde, elle doutait qu’on puisse trouver de gens plus endettés que sa famille. Alors elle prit une décision. Une décision qu’elle n’aura certainement pas dû prendre, mais qui justifia par la suite sa présence dans le Manoir. Elle rejoint le « gang », en tant que nouveau membre. Elle s’y intégra en modifiant considérablement sa personnalité, en se donnant des airs assurés par-dessus l’inquiétude qui régnait en elle. Ses parents le voyaient d’un très mauvais œil mais n’osaient piper mot de part leur dépendance à ces hommes. Heureusement, le chef était un homme particulièrement pervers, qui vit en elle une bonne façon de s’amuser. Elle se laissait faussement manipuler, elle faisait semblant de ne rien voir, ou répondait à certaines de ses avances, sans jamais aller trop loin. Elle attendit longtemps avant de saisir sa chance. Une chance qui se présenta un soir où elle fut conviée dans le lit du chef. Elle accepta, et prétexta aller se préparer. En réalité ? Elle prenait un pistolet avec elle. « Si cet homme meurt, ma famille vivra en paix, comme avant, n’est-ce pas ? » Voilà ce qu’elle pensait. C’était tellement futile et enfantin de penser que ça se passerait aussi aisément. Tous les membres qui traînaient aux alentours de la demeure du dit chef entendirent le coup de feu. Elle fut pourchassée pendant plusieurs heures. Et c’est dans une ruelle sombre qu’on la trouva, tremblante, affolée. Malgré cela, les hommes n’hésitèrent pas. Ils brandirent haut leurs armes, pour la plupart des bars de fer et des batte en bois, et la frappèrent. Sous cette torture longue et douloureuse, elle mourra. Et c’est ainsi qu’elle aperçut qu’elle était arrivée dans sur un chemin blanc et noir. Elle avait tout oublié, ou presque. Son caractère affirmé et sadique était devenu sa véritable personnalité, elle se sentait incapable de ne serait-ce que s’imaginer comme une fille pleurnicheuse et faible. Perdit-elle la mémoire sous les coups qu’on lui porta au crâne ou à cause du traumatisme de ces derniers évènements ? Impossible de le savoir… Sûrement un peu des deux, même. ▬ Des trucs en vrac sur vous
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• PRÉNOM : Hm... J'dirais rien ;p
• ÂGE : 15 ans
• Ce que vous pensez du forum, que faut-il changer ? : Rien à dire pour le moment, j'aime beaucoup ♥
• Comment avez-vous trouvé le forum ? : Bien !
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Dernière édition par Luce le Dim 23 Juin - 10:09, édité 1 fois |
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