Lucian Calligan

Invité

▬ Lucian Calligan ! ♦

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♣ feat : Guts de Berserk;

▬ Des trucs en vrac sur votre personnage

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• NOM : Calligan
• PRÉNOM : Lucian (Prononcé "Luciane")
• ÂGE : 24 ans
• GROUPE & RACE : Humain de la cité
• MÉTIER (facultatif) :
• ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosuexuel
• RANG (affiché sous l'avatar) :

Code:

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• RP AVEC UN GUIDE ? (si humain et si nouveau venu - époque 2000) : OUI !

▬ Description Physique

Je suis quelqu'un de grand, d'assez grand même, d'environ un mètre quatre-vingt-cinq pour quatre-vingt kilos de muscles. Et j'insiste pour le « muscles » car ma musculature est des plus impressionnante. On me considère souvent comme une barre de fer, un morceau de métal qui ne plie pas, que ne se brise pas. Ma peau est légèrement basanée. J'ai un signe distinctif sur la main droite, un pentacle noir, ce n'est ni un tatouage, ni une tâche de naissance, elle est apparue après ma mort. Son origine, je ne la connais pas. Cependant, je la cache en me bandant la main et le poignet.

Mon visage est assez dur, rarement agrémenté d'un sourire. Mes cheveux noirs aux reflets gris bleuté ne font rien pour faire ressortir mes yeux mi-bruns mi-noirs.

Au niveau de mes vêtements, je ne porterai qu'un pantalon en toile gris, large, rentré dans des bottes en cuir. Une ceinture cachée sous un turban noir pendant sur ma hanche gauche le tiendra parfaitement en place. Je ne porterai ni t-shirt, ni chemise, ni chemisette, simplement une cape en tissu épais noir, les bords en cuir et maintenu par une belle attache ronde en acier au niveau de mon épaule droite.

J'irai transformer ma bague à pierre rouge en une croix de la même forme que celle qui m'a ôté la vie. (Photo à venir !)

▬ Description Mentale

Je n'ai pas grand chose à dire, je ne suis pas complexe dès lors où on m'a cerné. D'ordinaire, je suis discret et calme, je ne prends jamais par aux railleries, aux banquets et autres fêtes sauf si dans ces dernières je peux trouver l'un ou l'autre démon à combattre. Je précise que je qualifie de démon toute créature qui m'ennuie... donc si un chat me fait caca sur la botte, ce sera un démon. Si un pigeon me fait pipi sur la tête, ce sera un grand démon !

J'ai une sainte horreur des bagarres inutiles aussi tâché-je de m'occuper rapidement du violant personnage mais, cependant, les batailles à objectifs honorables, j'y prends part de toutes mes forces !

De l'affection, j'en donne, cela est rare mais j'en donne, il suffit simplement de trouvé l'âme humaine qui réside en moi. Je vous l'accorde, cela ne sera pas facile mais si vous y mettez du votre, on risquerait de faire un peu de sport ensemble !

▬ Pouvoirs & Arme

Dans ma croix réside une quantité d'énergie phénoménale de couleur bleu cyan. Je peux la modeler et la faire prendre n'importe quelle forme. Je peux donc matérialiser une épée comme un bouclier comme un vêtement. Quand je l'utilise, ma croix prend la couleur de cette énergie, je l'attrape de ma main droite pour finir par libéré la quantité d'énergie que je souhaite.

J'apprendrai à la maîtriser petit-à-petit et plus elle sera sous mon contrôle, plus je serai puissant. Au début, je ne pourrai utiliser qu'une partie de cette énergie mais plus je la connaîtrai, plus cette quantité utilisable s'agrandira. Cette évolution se marque de la manière suivante : Quand je la libère, mon bras droit entier se voit entièrement recouvert d'une sorte d'armure en titane/or, le bout des doigts terminé en griffe. A chaque avancée dans la connaissance de cette énergie, cette armure gagne du terrain sur mon corps et quand je la connaîtrai parfaitement, que je serai maître de ce flux énergétique, j'atteindrai alors ma forme ultime et surpuissante !

Une fois l'armure déployée, ma vitesse est grandement accrue et ma force décuplée. Ce qui variera en fonction du stade de maîtrise sera les attaques énergétiques que je pourrai lancer. Ajouter à ça mes compétences exceptionnelles en combats. Ne vous y trompez pas, la quantité d'énergie que je peux utiliser est assez grande pour un commencement !

▬ Tell me your death

*Brouhaha d'une foule impatiente*

J'ai un peu honte de mon enfance...

Je suis né dans une famille de classe moyenne, ni riche mais à la limite de la pauvreté, se débrouillant tant bien que mal pour avoir un morceau de viande chaque jour. Je n'ai pas connu toutes les petites faveurs de la bonne naissance telles que la haute-école ou les clubs sportifs. Cela vous donne une idée assez claire des conditions dans lesquelles j'ai grandi, je crois.

Nous restions toutefois une famille soudée par le sourire et l'affection qu'on s'échangeait. Croyants depuis des générations, nous étions du genre à prier avant chaque repas et chaque soir avant de s'endormir ; je ne comprenais pas toujours le pourquoi du comment concernant cette divinité vénérée alors qu'elle n'avait émise aucune preuve concrète de son existence mais ma très chère maman prenait toujours le temps pour bien m'expliquer que c'est grâce à cette question qui peut sembler si simple mais qui s'avère pourtant si complexe, que nous faisons la différence entre ceux qui ont la foi et ceux qui préfèrent raisonner par liens logiques. Elle ajoutait souvent que la foi était salvatrice dans les situations les plus désespérées, je ne m'en rendais alors pas compte du bas de mes huit ans. C'est donc dans la foi que je me retrouvais à puiser courage et volonté. A chaque pépin de la vie, elle me permettait de le gérer sans dommages, à chaque ennui scolaire, je trouvais une solution en me répétant que Dieu serait content de moi si je parvenais à le régler par moi-même.

L'image du Père était ce qui rendait notre famille si belle car oui, je n'étais pas enfant unique, j'avais un frère aîné appelé Tarek. Etant donné que mes parents se ruinaient la santé au travail, mon frère était celui qui s'occupait de moi à la maison, il corrigeait mes devoirs, s'assurait que je suivais bien les consignes qu'avait données l'institutrice pour le lendemain, c'est lui qui me faisait le dîné le week-end et qui venait me chercher à la sortie des classes la semaine. Lui même se trouvait en dernière année humanitaire. Il allait bientôt entrer en haut-école d'informatique. Un garçon si brillant qu'il était la fierté de mes parents ; ils parlaient très souvent de lui à leurs amis, me laissant dans l'ombre mais cela ne me dérangeait pas, j'étais vraiment fier de mon frère aussi. Il était mon modèle.

*Des projecteurs s'illuminent*

Enfin, tout cela, c'était avant que le Seigneur ne nous abandonne à la triste réalité de la vie... Dans notre quartier, la violence s'est soudainement élevée à un point qu'un couvre-feu obligatoire avait été instauré. A partir de 18h00, plus personne ne devait circuler dans les rues et à partir de 21h00, toutes les lumières devaient être éteintes. A cause de cela, mon père avait perdu son travail car ses journées s'achevaient une heure trop tard mais par chance, ma mère, technicienne de surface à mon école primaire, avait pu garder le sien. Un jour où mon frère s'était assoupi en début d'après-midi, j'eus fini un peu plus tôt que prévu car Madame Manon avait un rendez-vous chez le médecin. Ma maman, pressée de rentrée pour préparer un dîné de fortune, n'entendit pas la nouvelle et très vite, je me retrouvai seul à la sortie d'école. Les heures passèrent rapidement et quand on approchait de l'heure interdite – comme les habitants avaient coutume de l'appelée – je vis Tarek apparaître au coin de la rue. Un sourire se dessina sur mon visage et je me mis alors à courir vers lui. J'allais enfin pouvoir rentrer quand...

Une détonation résonna dans le silence de la rue et comme si le temps s'était grandement ralenti, je vis mon frère tituber pour finir par lentement s'écrouler sur le sol, une tâche rouge grandissant sur sa poitrine. J'avais arrêté de bouger tandis qu'une fine pluie se mit à tomber. Mon frère, ma chair, celui qui s'était si bien occupé de moi pendant des années gisait sur le sol maintenant brillant par la pluie, quelques mètres devant moi. Soudain, un homme portant un bonnet et un long manteau au col relevé s'approcha du corps et se mit à le toucher. Je ne comprenais pas qu'il le fouillait aussi sous le choc fonçais-je sur lui en lui donnant plusieurs coups de pieds de toutes mes forces en criant « Laisse-mon frère ! » mais rien n'y fit et d'un geste d'une grande violence, il m'assomma avec un objet en métal qu'on m'apprit être la crosse de son pistolet. Je chutai sur le bord du trottoir avant de m'évanouir sur le sang de Tarek mêlé à l'eau qui coulait dans la rigole.

*Un visage menaçant s'ajoute au tableau*

Je suis resté une semaine dans un coma superficiel et lorsque j'ouvris enfin les yeux, j'étais dans une petite chambre, des moniteurs sur la droite et mes parents sur la gauche. Ma mère dormait sur l'épaule de mon père qui caressait une photo et c'est en le voyant pleurer que je me souvins brutalement la mort de Tarek. Mes mains se mirent à trembler, des larmes coulèrent sur mes joues et un long cri de tristesse sorti de ma bouche, un cri torturé et horrible, presque inhumain. Cela réveilla ma mère qui sauta à mon côté pour me calmer et il ne fallut pas une seconde pour que je saute à son cou en arrachant mes perfusions. J'ai jamais autant pleuré que ce jour-là.

Depuis, la vie n'était plus pareil. Mes parents avaient perdu leur plus grande fierté, ils avaient même dépensé les économies destinées à payer mon enseignement secondaire pour rendre hommage une dernière fois à leur défunt fils avec de belles funérailles. Depuis ce jour, je ne les ai plus jamais vu sourire une fois, plus personne ne s'occupait de moi et alors que j'entrais en dernière année primaire, mes résultats étaient du moyen au médiocre. J'eus même connu ma première bagarre qui s'était terminée par une hospitalisation : un sale gamin de ma classe avait insulté mon frère de « couille-molle » pour ne pas s'être défendu le jour de sa mort et comme dans chaque situation tendue, je pris mon crucifix en bois que je portais toujours autour du cou pour chercher réconfort dans la foi. Mais alors qu'il était entre mes doigts, je me suis posé une nouvelle question : « Si tu existes, Dieu, pourquoi n'as-tu pas protégé mon frère ? » et c'est à cet instant précis que ma croyance s'ébranla, morte avec mon frère et d'un bond, je sautai sur le gamin injurieux pour lui enfoncer ma croix dans la gorge. Il n'y avait eu qu'une petite ouverture mais il saignait suffisamment pour affoler l'envoyer à l’hôpital. J'appris bien plus tard son décès. J'avais enlevé la vie pour la première fois et ça ne me faisait rien, je ne m'en rendais pas réellement compte. Pour ma part, renvoi immédiat et définitif.

*Une cage m'enferme avec cette autre personne*

Me voilà à la porte de l'école, sans famille pour venir me chercher. Je marchais alors sans savoir où aller, vagabondant, regardant les alentours, les piles de déchets aux coins des rues pour finir par m'asseoir à côté d'une d'entre elles. J'étais déprimé, depuis la mort de mon frère, j'avais tout fait pour rendre le sourire à mes parents, pour qu'ils soient fiers de moi mais j'étais devenu comme invisible pour eux. Ils ne faisaient que se lamenter sur le fils décédé.

Puis vint la rencontre qui changea tout. Un homme s'approcha de moi, il donnait une impression de puissance sans pareil et alors que je reculais dans les déchets pour me cacher, il me tendit un biscuit et m'invita à le suivre. Comment j'ai appris à lui faire confiance et à le connaître n'a pas vraiment d'importance, il suffit de savoir que cet homme tenait une salle d'entraînement au combat de rue pour comprendre ce que j'allais faire pour gagner ma vie plus tard. J'ai disparu de l'entourage de ma famille détruite pour être logé, nourri et initié à l'art de ce qui s'apparentait à un mentor pour moi. J'avais une haine en moi, une haine pour mon frère mort qui sans sa disparition, ma vie n'aurait pas été sabordée. Fort, voilà ce que je voulais être, maintenant, je voulais être fort.

A mes dix-huit ans, je partis avec lui pour mes premiers combats de cage : combattant de MMA, voilà ce que j'étais devenu en six ans d'entraînement intensif. Nous avons commencé par du régional, je n'étais pas encore au top mais je me débrouillais. J'encaissais les coups pour les rendre avec férocité : il ne restait plus rien du petit enfant que j'étais, seul un guerrier vivait en moi. Un homme de muscles et de rage canalisée en puissance. Après les régionaux, mon mentor me donna une enveloppe contenant l'argent gagné par les combats, une petite somme de 3000 euros en me disant qu'il était temps pour moi de voler de mes propres ailes. Je fis donc mon sac pour partir pour la capitale économique de mon pays, là où je pouvais sans nul doute combattre de plus grands combattants encore ! Je ne me doutais pas que c'est sur un ring que ma vie se jouerait...

Les combattants n'avaient rien avoir avec les petites frappes que j'avais battus aux régionaux, ils étaient bien mieux entraînés et mon style un peu brouillon n'était plus suffisant pour vaincre ce genre d'adversaire. Je me rappelle encore de mon premier combat national, ça avait été douloureux.

Droite, gauche, gauche, droite, uppercut, je les encaissais tous, ma garde avait été brisée sans le moindre effort. Pour être honnête, je ne m'étais pas du tout entraîné ni renseigné avant de me jeter dans la cage, j'étais bien trop confiant pour cela et cette confiance en mes capacités m'a valu une nouvelle hospitalisation pour un bras cassé et une main complètement écrasée. Mon adversaire ne s'était pas fait prié pour littéralement me détruire. Toutefois, je crois que j'aurais dû le remercier car grâce à lui, j'ai fais la connaissance d'une personne aiguillage de ma vie.

Chapitre deux.

*Le foule autour de nous se trouve être un public*

Pour la deuxième fois, je me réveillai dans une chambre d'hôpital mais cette fois-ci, c'était une chambre postopératoire. Je me sentais revivre à nouveau jusqu'à ce qu'en voulant serrer mon poing, je sentis un lourde gène. En effet, le plâtre recouvrant mon bras droit me ramena à l'horrible réalité. J'étais à l'hôpital alors que je n'avais aucune famille pour m'aider, du moins c'est ce que je me disais avant de voir qu'à la même place où se trouvaient mes parents quelques années plutôt, il y avait une femme discutant avec un homme du même âge. Je ne les connaissais pas, ni d'Eve ni d'Adam et pourtant, ils étaient à mon chevet. Ce n'est que bien plus tard, lors de ma sortie d'hospitalisation, qu'ils m'expliquèrent les raisons de leur présence. Après avoir été mis K.O par mon adversaire, personne ne savait où me mettre. Je n'avais personne à qui être confié et c'est pourquoi l'homme m'avait pris avec lui en voyant que je ne dépassais pas la vingtaine d'années. Monsieur et Madame Calligan.

Ils m'accueillirent chez eux, dans la chambre d'amis, me nourrissaient et prenaient soin de moi le temps que mon bras soit sorti du plâtre et le jour où cela arriva, j'eus dû faire face à une nouvelle réalité : le poids de mon bras droit. Je le sentais alourdi, je ne le reconnaissais plus et pour cause, les chirurgiens n'avait pas réussi à réparer mon ossature. Me voilà avec un humérus à moitié métallique et une main de même matière, le tout recouvert de ma peau récupérée. Heureusement, à tout inconvénient s'associe un avantage et si mon bras d'attaque s'était alourdi, ma frappe avait gagné en puissance et paradoxalement en rapidité. Attention, il ne faut pas confondre puissance et puissance... Un crochet, un seul crochet du droit m'a apporté notoriété et surnom dans le monde du combat de cage.

Monsieur Calligan m'a trouvé un coach qui m'apprit l'art du combat d'une manière autrement plus poussée que mon mentor dont je n'avais plus de nouvelle. J'appris tous les coups de pieds existants, toutes les frappes de poings, les points sensibles du corps et les points de pressions nécessaires pour enfin terminer mon apprentissage par de les clés et les soumissions. En quatre ans, j'ai gagné de la masse musculaire, j'ai appris à taper bien plus rapidement et mon crochet droit était devenu mon arme secrète couplant vitesse et puissance dévastatrice. Et bientôt, j'étais de retour sur le ring pour le tournoi national, celui qui proclamait le grand vainqueur, grand champion du pays.

*Et ce public scande « Light Hook ! Light Hook ! »*

Premier combat, dix secondes : Tout juste le temps de me rapprocher de lui, deux jabs pour ouvrir sa garde et un direct droit en plein plexus solaire. Mon opposant s'écroula. Le deuxième combat fut d'une simplicité pareille et ce n'est qu'au troisième que ma réputation se forgea. Mon adversaire se trouvait être le même qui me détruisit le bras alors autant dire que j'étais motivé à lui mettre une bonne raclée... Sans attendre, dès que le référé sonna le début de l'affrontement, j'exécutai un formidable coup de pied retourné qui non seulement surpris mon Yuri (c'est ainsi qu'il se nommait) mais en plus de cela, il s'écroula, l'arcade ensanglantée. Bien sûr, il eut vite fait de se relever et c'est dans un long échange de directs, de coups de pied bas que le premier round s'acheva. L'avantage m'était clairement octroyé ; Yuri était bien amoché tandis que ma garde était restée inviolée. L'arbitre sonna la reprise et après une dernière tape de mon coach sur l'épaule, je fonçai à nouveau sur le russe. Je comptais très vite en finir et pour cela, dès la première ouverture, j'actionnai mon redoutable crochet ! Yuri fit un demi-tour sur lui-même en laissant du sang mélangé à de la salive sortir de sa bouche pour finir par tomber en avant. Knock Out. Cette fin de combat était spectaculaire, du jamais vu, les journaux en parlaient dès le lendemain en m'appelant «The Light Hook ».

Mais ce n'est pas avec un surnom tout beau qu'on crée un combattant invincible. Mon antépénultième combat était très rude, je fus déclaré vainqueur mais j'avais pris pas mal de coups bien placés et c'est pourquoi Romane, la fille de Monsieur et Madame Calligan, avec qui j'entretenais une relation (du cadre du sport de chambre) m'avait demandé de porter une croix qu'elle m'offrit ; croix qu'elle avait accompagnée d'une prière de protection pour moi car qui l'aurait cru que je retomberais un jour dans une famille de croyants ? Quoi qu'il en soit, je respectais sa demande et jamais je n'enlevais cette croix de mon cou, je voulais croire qu'elle me protégerait et par la même occasion, rassurer Romane. Et je n'allais pas tardé à être convaincu ! La demi-finale, pliée en deux rounds, sans blessures graves et le public conquis scandait mon nom de scène. J'étais devenu le favoris, tout le monde me connaissait, j'étais l'un des plus forts et j'avais gagné assez d'argent pour pouvoir faire vivre la famille que je voulais fonder avec ma compagne, je voyais enfin ma vie réussie,... jusqu'à ce jour... Le jour qui fit tout basculer... Mon jour noir.

*Tout le tableau s'illumine, je suis sur le ring face à un tueur, la foule criant mon nom de scène*

Raconte moi ta mort.

Devant moi, Vadim Jay Whitovich, le monstre qui s'était hissé jusqu'en final, le combattant que je devais vaincre pour enfin pouvoir tirer ma révérence et vivre avec celle qui deviendrait ma femme dans peu de temps, si tout se passait bien. Cet autre finaliste était aussi grand que moi, des muscles puissants, un cou de taureau, blond et aux yeux bleus qui laissaient voir toute la détermination qui l'habitait. Il sautillait de droite à gauche, tapant quelques fois dans le vide : il était prêt à en découdre.

Autour de la cage, la foule scandait mon nom, ou plutôt, mon surnom. Comme dit un peu plus haut, j'avais gagné leur coeur, The Light Hook était le favoris et tout le monde s'attendait à le voir gagner.

Quant à moi, j'embrassais une dernière fois Romane avant d'entrer dans la cage juste derrière Vadim, ma croix au cou, bien évidemment. Nous nous rendîmes chacun dans notre coin pour un petit dégourdissement pour finir par être appelé au centre afin de recevoir les derniers avertissements concernant les coups autorisés et ceux qui ne l'étaient pas. Enfin, quand vint le moment de frapper nos poings en signe de respect et d'accord, je sentis toute la haine que le russe pouvais ressentir à mon égard. Haine dont je ne compris la provenance qu'une fois à la fin du combat.

La cloche sonne, ça commence et je n'ai que le temps de faire trois pas que déjà le russe me repousse d'un violent coup de pied de face. Je fus presque projeté contre la grille et il revenait immédiatement, la garde haute, sur le point de m'assaillir de directs et de crochets mais avant qu'il n'eut le temps de faire quoi que ce soit, j'abaissai son bras le plus en avant pour casser sa garde d'un coup de pied vertical. Maintenant que j'avais une ouverture, je partis directement en crochet droit, la victoire était mienne... Mais c'était sans compté la pirouette de mon adversaire qui se termina par un pied pénétrant en plein dans la ceinture abdominale ! Me revoilà contre la grille, la situation était mauvaise ! Vadim revint avec un crochet droit que je bloquai avec mon avant-bras de métal et en suivant le mouvement circulaire, mon coude gauche se planta dans son plexus ce qui le fit reculer de plusieurs pas. J'en profitai alors pour lui asséné un coup de pied retourné en pleine figure. Fin du premier round : Vadim récupérait sa respiration tandis que je me massais un peu le ventre ; j'avais mal encaissé sont dernier coup. Début du second round. Il était aussi intense et violent que le premier mais les coups que je donnais passaient mieux aux détriments de ma propre garde ce qui par conséquent, permettait au russe de me toucher plusieurs fois. Le bilan : plaies au visage et contusions sur la poitrine. Plus que deux, me disais-je. Un seul il me restait à donner. La cloche résonne à nouveau, signalant le troisième round, un round éclaire. Je m'avance vers lui en sautillant, une jab droite, une seconde droite et à la gauche, tout bascula.

Cela se passa comme au ralenti : je tendais mon bras gauche alors qu'il pivota à nonante degré pour l'esquiver. Je le vis sa main droite plonger sur ma croix et en m'adressant un « Pour mon frère, connard ! » il me la planta dans la gorge ! Personne ne remarqua cela hormis l'arbitre et avant qu'il n'intervienne, j'eus le temps de lui décocher mon plus puissant mais maladroit crochet droit. Le contact se fit sur sa mâchoire qui se broya sous ma force. Je l'entendis se désaxer, se briser et presque s'arracher. Mon attaque était montante aussi, son nez fut détruit, propulsant un morceau d'os plus profondément dans son crâne. Après un court temps d'immobilité, il tomba sur le dos, arrachant ma croix et agrandissant alors l'ouverture de ma gorge, mort. Puis vint mon tour. Ma vue se brouilla et je finis par m'écrouler non loin du cadavre de Vadim Jay Whitovich.

Tout d'un coup, la foule s'était tue. Les référés et les familles s'approchèrent de nos corps, affolés pour certains, en larmes pour d'autres.

Voilà comment la mort s'empara de Lucian Calligan.

▬ Des trucs en vrac sur vous

• PRÉNOM : Bruno
• ÂGE : Vous me donnez combien ?
• Ce que vous pensez du forum, que faut-il changer ? : Peut-être le code des fiches, le trouve fort chargé :/
• Comment avez-vous trouvé le forum ? : Merci à Shinn et Karyel !
• Plutôt salé ou sucré ? Testez pas, épicé !

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Bouh et Hell-come
○Bref ta fiche: pas mal du tout juste:humain du manoir ou de la cité? (enfin j'hésite aussi donc '-')
○(je crois pas que clone plus matérialisation soit autorisé) =>nalex me corrigeras sur ce point '-'
○ton perso , il est connu ou pas (avatar)

sinon je vois pas de problème :3

Invité

Merci !

Pour le personnage, j'ai fais une recherche vague sur google, je ne sais pas s'il vient d'un manga ou si c'est un fanart ^^'

Je commencerai par la cité ^^

C'est un clone modelé par énergie, donc, il n'a pas de pouvoirs, il ne peut qu'attaquer physiquement. Maintenant, si ce n'est pas autorisé, j'enlèverai, il n'y a aucun soucis ^^

salut pti gars ! heureux de te voir ici, byebye !

Invité

Merci à toi, p'tit gars !

Bienvenue parmi nous,
le personnage sur ton avatar n'est autre que "Guts" du manga Berserk. :)
Voici un lien zerochan si tu veux. : Here.

Bonjour et bienvenue!

Pour le pouvoir, il va effectivement falloir modifier, comme l'a dit Anna. Tout simplement parce que comme indiqué dans ce sujet, la bague ne peut pas contenir une réserve d'énergie qui permet de matérialiser n'importe quoi. À moins de permission spéciale de Say-chan, mais je doute que ça soit accepté.
De plus, la bague ne peut pas être changée pour autre chose. Intégrée à une croix, peut-être, mais elle doit être portée à un doigt pour être utilisée.
Petite précision supplémentaire pour cette section. Je n'ai rien contre le pentacle apparu après la mort, mais il ne pourra pas briller uniquement grâce à la bague (si ton personnage devient un ange plus tard, peut-être, mais pas tant qu'il reste humain).

Pour le reste, je n'ai rien à redire, puisque je suppose que le reste de l'histoire va venir avec le rp d'introduction ^^

Invité

Pour ce qui est du pouvoir, j'en avais déjà parlé à la fonda et elle m'a dit qu'il n'y aurait normalement pas de problèmes. Bien entendu, je ne modéliserai pas d'armes à feu ou autre chose qui transgresserait le règlement (soyez rassurés, il n'y aura pas d'abus) . J'enlève donc la possibilité de modeler un clone ^^ *s'en va éditer*

Mon pentacle ne brillera pas dans ce cas ! *s'en va éditer*

Pour ce qui est du collier, j'en ai aussi parlé à la fonda, étant donné que c'est la pierre qui est magique, je pourrais aller chez un bijoutier, par exemple, pour qui l'intègre à une croix que je porterai au cou. Elle n'y a pas vu d'inconvénients^^ .

Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuue ^o^
*fonda arrive \o/*
Non je ne me suis pas endormie hier soir Lu... Ah si. SOIT I'M HERE \o

D'ailleurs complètement HS, mais Lucian est un de mes prénoms masculins préférés \o/ Oui on s'en balance maiiiis D8

○ Le pouvoir -> Moi ça me va, c'est juste une liste non exhaustive, et de toute façon, je précise, qu'un humain reste de toute façon moins rapide et fort - sauf condition physique à la limite- qu'un démon Wink

○ Bague -> Oui, je lui ais dis qu'il pouvait, après tout, ce n'est qu'un bijou, en plus un collier c'est plus facile à arracher d'une bague.

Voilà, tout me va pour le reste \o/ je te valide choupinou ! Battez vous bien avec Shinn et Karyel 8D

Et, Lucian, tu veux qui pour t'accueillir ? Une petite fille timide, ou un monsieur un peu bourrin?

Oh et je t'invite à poster http://the-hell.jdrforum.com/t776-votre-puissance ici \o

Invité

Merci !

Je pense que je précise assez bien la condition physique de mon personnage, pas de soucis là dessus ^^.

Compte sur moi pour les battre ! x) Surtout mon Shinnounet !

Un bourrin, ça me donnera déjà une idée précise de ce qui m'attendra !

D'accord, va pour Saizou dans ce cas http://the-hell.jdrforum.com/u116 <= c'est lui ! Je te laisse commencer \o Mp moi quand c'est fait ♥

Invité

Reçu !

Je viens aussi demander si tu veux une petite phrase personnalisée sous l'image de ton rang, parce que tu y a droit ^^

Invité

Je n'en ai pas de marquantes donc pour le moment, non, merci pour la demande ^^.

sujet déplacé ~~

Bienvenue Lucian! :)
Amuse toi bien parmis nous~

(haaaa je suis en retard, mais bon :p)

Invité

Merci merci !

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Lucian Calligan

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