Le physique d’Irisia ? On ne peut pas dire qu’elle est effrayante ! La jeune fille est tellement petite et mignonne qu’on aurait du mal à croire que c’est un démon. Ses cheveux sont droit et fins, d’une douceur inégalable, elle en prend le plus grand soin, une frange et quelques mèches viennent encadrés son beau visages ovale. Elle a le visage semblable a une poupée, son teint de peau est d’un blanc délicat, ses yeux sont grands, marrons virant au blanc quand il fait beau et au rouges vifs quand elle a soif, c’est-à-dire très rarement, ses sils sont longs, elle a de belles pommettes roses, un nez fin, et de minuscule lèvres pulpeuses.  Son corps est bien proportionné, ses épaules sont droites, sa poitrine n’est pas surdimensionnée comme chez certaines demoiselles, mais assez intéressante pour le regard des messieurs. Son ventre et plat, ses hanches sont fines, mais existantes. Son bassin est... Attirant bien proportionné et ses jambes sont grandes et fines, enfin, grandes et un trop grand mot. La jeune fille ne mesure qu’1m 63.
On peut noter quelle possède un ours en peluche qu'elle affectionne particulierement, l'emmenant un peu partout avec elle.

Vous pensez qu’Irisia est le genre de fille tellement adorable qu’elle n’arriverait même pas à tuer une petite mouche ? Tellement mignonne qu’aucune pensée malsaine ne hante sa petite tête si adorable ? Si c’est le cas, ne lisez pas la suite, ça risque de « chambouler » l’image de cet être si mignon.
Irisia est une manipulatrice née, depuis sa naissance, la jeune noble arrive par tous les moyens à obtenir ce qu’elle veut. Elle ne pense pas mal, mais fera tout pour arriver à ses fins. Mais, quelques part vous avez raison, Irisia est quelqu’un de gentille quand elle ne veut pas acquérir quelque chose ou quelqu’un.
Quand son envie de posséder ne se manifeste pas, Irisia est quelqu’un qui a toujours le sourire aux lèvres, mais c’est aussi quelqu’un qui peut être très calme ! Enfin, disons qu’elle est gentille avec tout le monde, pour elle il n’y a pas de personnes « gentilles » ou « méchantes » il n’y a que des êtres, qui ont eu une histoire qui ont forgeait leur caractère. Elle ne juge pas les gens, et peut s’avérer extrêmement timide : devant les « grandes » personnes (ceux généralement qui sont soient imposant dans la société ou juste grande et imposante de taille...) On peut dire qu’elle a des moments lunatiques, pour cause qu’elle renferme trop de douleurs au fond elle. Parfois les larmes sortent, comme ça, s’en prévenir. Elle est du genre à prendre toute la peine du monde sur son dos. Elle essayera toujours de vous aider, même quand vous ne le demanderez pas. Que dire de plus... ah oui... elle ne se l’avoue pas à elle-même mais, elle est très masochiste pendant un rapport, enfin, elle est encore vierge ! Mais son caractère fera qu’elle le sera !
Le reste, je vous laisse le plaisir de le découvrir dans un rp ! ♥

Évolution chronique : Ce pouvoir permet a Irisia de prendre une nouvelle apparence avec un nouveau caractère  de son choix pendant 3 heures, il lui sert beaucoup pour manipuler les gens, les incitants sous une autre apparence a faire des actions pour elle, et tire profit du fait qu’on ne peut pas l’accuser, passé se délais, elle redevient elle-même.
Du coté des armes, il faut d’abord savoir qu’Irisia se balade TOUJOURS avec son petit ours en peluche Teddy, et si on fouille bien dans le rembourrage de sa peluche, on y trouve une dague en argent, mais elle ne s’en sert presque jamais, évitant d’éventrer son Teddy à chaque fois qu’elle a besoin d’une arme.

A sa naissance, Irisia était un beau petit bébé comme on les aimes. Née d’une famille noble, elle ne connaissait pas beaucoup ses parents, surtout son père, enfant elle aurait voulus le connaitre, mais c’était un homme de travail, quelqu’un qui ne laisse pas de place pour les sentiments enfantins et l’amusement, c’est sans doute pour ça qu’elle lui en veut, a son paternelle…
La petite enfant était aimé de tous, mais possédait en elle, un pêché affreux : L’envie, qui se manifesta bien assez tôt, le jour de ses 4ans, le jour de Noël : Elle venait de recevoir un cheval, un assez jeune, d’une blancheur inégalable, le poulain que toute jeune fille rêverait d’avoir. Et pourtant elle n’était pas contente, pleurant presque, enviant son  cousin, qui lui, reçu un simple sifflet mais réussissait à s’amusait bien plus qu’elle, courant dans toute le manoir, son jouet à la bouche. Elle en «était furieuse de son bonheur, au point de cassé le jouet du petit le lendemain.
Mais reprenons. Comme je le disais, elle est née d’une famille noble, et qui dit famille noble dit : argent ; mariage forcé ; bonne manière et ce sont là les trois choses que la jeunes fille hais, mais elle ne pouvait pas protester, sa famille était l’une des dernières et rares à suivre encore les vieilles traditions et elle n’y échapperait pas, et à l’âge de la puberté, elle fut promis au fils d’un riche bourgeois, âgée de quelques années de plus. Malheureux direz-vous ? Bah… Elle n’a jamais montré signe de faiblesse ou de tristesse, loin de là, notre amie restait quoi qu’il arrive tout sourire, c’est surement pour ça que ses parents ne se souciaient pas d’elle, puisqu’elle semblait aller bien.
Alors notre jeune fille grandit encore un peu, gardant pour elle son malheur, au fond, bien au fond d’elle, fleurissant petit à petit, elle était enviait cette jeune fleur, mais son futur mari la gardait toujours a porté de main, au début elle ne pensait qu’il était un peu trop possessif, jaloux des hommes qui commençaient à s’approcher, mais elle n’aurait jamais crus que son mari faisait simplement en sorte de garder sa proie en vie.
Et notre adorable fleur, eu 16ans, l’âge de la majorité sexuelle non ? Son fiancé le savait bien ca, c’est pourquoi il lui interdisait de sortir, et les rares fois où elle pouvait se balader en ville était en sa compagnie. Vous y croyez-vous ? Moi non plus. Evidement qu’elle sortait en cachète, la nuit comme le jour, allant dans les boutiques pour jeunes damoiselle qu’elle adorait tant, sentir l’herbe fraichement coupée du matin, se balader avec le peux d’amie qu’elle avait était pour elle des choses essentiels que personne ne pouvait lui retirer.
La jeune fille continue de vivre ainsi, charmant les hommes pour accomplir le moindre de ses caprices, et un jour qu’elle se baladait la nuit, elle avait rencontré cet homme, d’une beauté sans pareille. Elle n’avait jamais vus quelqu’un d’aussi beau, d’aussi élégant, même les hommes qui la convoitaient, tous nobles ou bourgeois ne valaient rien comparé a lui, elle eut ce qu’on peut appeler un coup de foudre. Leur rencontre était banale, il était juste venu lui parler, se donnant rendez-vous chaque soir au même endroit, petit à petit, ils commencèrent a s’apprivoiser, l’homme était beaucoup plus âgée que la jeune fille, mais pour elle ce n’était pas important. Mais tout cela n’était qu’artificiel, alors qu’elle avait un nouveau rendez-vous avec son amant, il vint la poignardez sauvagement en pleine poitrine, ce n’était en vérité qu’un simple mercenaire, envoyé par une famille rivale, voulant empêcher la jeune pousse à se marier avec son fiancé.  
Elle resta là, sur le sol, son sang venant se rependre peut a peut, formant une flac, elle en prit sur son doigt et lécha le liquide rouge, fermant les yeux, elle attendit que la mort vienne la chercher, et elle le vu, cet homme, si beau, grand, c’était lui la mort ? Il lui parlait doucement, lui proposant une offre qu’elle ne pouvait pas refuser.
Et c’est ainsi que notre nouvelle amie commença sa nouvelle vie dans le manoir, ne regrettant absolument rien de sa mort.