Angélica ressemble vraiment à un petit ange. Physiquement elle est jolie, mesurant 1 mètre 62, elle n'est pas du tout complexée par sa taille qui n'est ni trop grande ni trop petite. Mince au corps élancée, Angélica possède un physique de rêve si je puis dire. Elle ne met pas vraiment ses formes plus que généreuses en valeurs.
Restant sobre quand elle est en présence d'un ange mais une fois rentrée à son domicile elle change tout d'un coup pour se transformer en petite geekette à lunette.
Angélica a de longs cheveux blonds platines lui arrivant à la taille, elle les attache souvent en queue de cheval. Ses yeux sont d'un bleu ciel magnifique et elle les maquilles d'une pointe de mascara, de far et de crayon pour faire ressortir la couleur.
Son style vestimentaire dépend des jours et de ses humeurs. Le plus souvent elle porte un uniforme d'écolière vert car comme elle le dit si bien "Il lui va bien". Mais notre demoiselle porte également des maillots de bains dû à son métier de maître nageuse, des yukatas car elle adore en porter ou des habits simples, tout ceci avec des couleurs plutôt clairs virant du blanc au bleu.
Angélica a toujours beaucoup aimé les papillons et pour le montrer elle porte la plupart du temps une pince papillon bleu dans ses cheveux, quelque fois on peut voir cette pince bouger, serait-ce un vrai ?

La demoiselle est une jeune femme très souriante et malgré la rumeur que sourire donne des rides, elle s'en contrefiche car voir une femme sourire est la plus belle chose qui soit.
Elle ne sort presque jamais ses ailes d'anges, préférant la jouer traditionnelle, elle se fond dans la masse humaine.
En résumé, la jeune fille est totalement le style de la fille moe à forte poitrine.
(9 lignes complètes minimum)

La jeune fille sourit sans arrêt, sauf quant elle est contrariée elle fait la moue ce qui l'a rend encore plus kawaii qu'elle ne l'est.

Angélica est également douce et gentille, toujours prête à faire de son mieux pour aider les autres, c'est pour cette raison qu'elle est devenue maître nageuse, pour aider les personnes qui nagent comme des fers à repasser à progresser même si elle aurait bien voulue être missionnaire mais la passion avant tout !
Malgré cette grande générosité et gentillesse, Angélica à quelques petits défauts qui pourraient presque l'envoyer dans le manoir. Elle est extrêmement narcissique, toujours avec un miroir dans sa poche, elle aime se voir et se dire qu'elle est belle et également le rappeler aux autres qui en sont presque las de l'entendre se le dire.
Pour son second défaut ce serait "les hommes". Angélica aime beaucoup les hommes, mais si elle le montre c'est direction les enfers avec tous ces démons ignobles. Mais même si elle dit penser ça des démons, Angélica trouve que certain d'eux sont terriblement craquants, mais ça c'est un secret ♥.

Pour ce qui est de la "gueguerre" entre les anges et les démons, elle trouve ça plutôt dommage et espère quelque fois pouvoir retrouver la paix entre les deux mondes et surtout le juste équilibre. Mais étant du côté des anges, elle critique beaucoup les démons pour ne pas en penser autant parce qu'après tout comme elle le dit "Les démons sont plus beaux que les humains et les anges ♥". Devant les anges elle affiche donc un sourire niait, passant pour la cruche aux formes généreuses et à l'intelligence d'un poisson rouge pour derrière être une femme calculatrice mais pas trop. Niveau des deux "patrons" Elle considère Michael et Saytan comme les deux canons de ce monde et pense qu'ils se battent car l'un est jaloux du physique de l'autre et vice versa.♥

Angélica, comme dit un peu plus haut, est un ange. Elle possède donc une paire d'aile rétractable qu'elle cache la plupart du temps pour ne les utiliser que quand il y a trop de monde au sol. Elle n'a jamais soigné d'ange et n'en a pas vraiment l'envie. Pour faire simple, se fondant dans la masse humaine, elle utilise des armes humaines en cas de dispute ou de combat (qui n'arrive que très peu) Mais ses armes sont généralement des poêles à frire car "ça cogne bien", sinon son principal atout pour le combat, n'est non pas son physique mais la fuite.

Raconter l'histoire d'une fille normale avec une vie normale ce ne serai pas vraiment marrant. Et pourtant, les gens "normales" sont souvent les plus fous d'entre nous tous !

Enfin, pas moi.

Bref dans ma vie, quand j'étais encore vivante, j'habitais en France, à Paris plus précisément. Ne vous êtes vous jamais demandé pourquoi Paris commence par un P ? Et bien moi je le savais ...

Pollution,
population,
put*** de chauffards,
police,
parkings pleins.

Enfin bref, je suis née d'une mère et d'un père possédant une richesse dans la norme. Ni trop pauvre, ni trop riche, juste au poil. Je vivais prêt du Louvre, la classe non ? J'aurai pu me dire "tiens je vais m'instruire" ou un truc du genre, mais voir des pièces de musée c'est aussi intéressant que d'envoyer un message à sois même, donc j'y suis jamais allée et encore heureux !

Avant de mourir, j'étais au lycée, je venais d'y rentrer même, en seconde. J'étais une de ces élèves dont les cours me passait au dessus et je préférais de loin me maquiller, bavarder avec mes camarades et faire les quatre cents coups avec mes compatriotes de galères, c'était assez drôle.
Avec mon physique, je plaisais beaucoup aux hommes, bien qu'ils devaient penser que mes yeux se situaient sur ma poitrine j'aimais bien plaire, sans pour autant répondre à leurs attentes. Moi, jeune fille en fleur, j'admirai bien plus le physique d'un homme qu'autre chose, donc je cherchais d'abord le parfait homme, beau et tout et tout, et ensuite je regardais s'il était du style prince charmant si ce n'était pas le cas, retour à l'envoyeur.

Donc voilà, j'étais une fille banale, gentille, capricieuse, mais normale et puis un jour, alors que je me dirigeai vers mon lycée, toute contente, uniforme parfait, maquillage parfait, coiffure parfaite. Sur le trottoir, attendant le petit bonhomme vert pour passer, celui ci s'affichant ensuite je traversais tranquillement, un chauffard bourré qui ne s'arrêtait pas au feu rouge. Une collision, le sol froid, le sang qui coulait de ma tête, les sirènes, le noir.

Voilà ma mort comme je m'en souviens.

Et puis le réveil, dans cet endroit immaculé de blanc, un beau jeune homme qui s'avance vers moi et me tend la main, moi qui la saisit et me voilà dans la cité depuis pas très longtemps, mais j'en connais déjà beaucoup. (15 lignes complètes minimum)