Je vais en salle de torture pour me dégourdir un peu les jambes. Ça fait longtemps que je n'ai pas utilisé mes pouvoirs sur quelqu'un, il faut que je me refasses la main. Allons voir s'il y a quelqu'un que je puisse torturer. Oui, il y a un humain. Allez, on y va.

" Bonjour toi, comment ça va ? Tu as été mauvais durant ta vie et tu as recommencé ici ? Ce n'est pas bien tu sais. Il va falloir que je te punisses. Est-ce que tu as chaud ? Parce que je vais te rafraîchir un peu. "

Je le colle contre le mur et je l'accroche à des chaînes : mieux vaut qu'il ne puisse pas s'en aller... Ce serait dommage de ne pas pouvoir prendre son temps. C'est tellement agréable de l'entendre hurler pour que je lui accorde la pitié. Mais, le problème, c'est que je ne connais pas le sens de ce mot alors à chaque fois qu'il le crie, je tape plus fort !

Pour m'amuser, je commence par le tabasser méthodiquement en prenant bien soin de frapper toutes les zones sensibles sauf son entre-jambe. Lui, je le garde pour plus tard... Il ne crie pas encore assez fort ! Je veux qu'il hurle de douleur ! Je frappe ses genoux (généralement, c'est ce qui fait le plus mal mais il semble résister assez bien à la douleur d'un genou déboîté) et je passe ensuite aux coudes et aux épaules mais moins fort cette fois ci : moins fort mais plus lentement. On dirait qu'il commence enfin à ressentir de la douleur. Je commence à retrouver mes sensations : j'étais décidément rouillé niveau torture il était temps que je m'y remettes.

Ensuite, je m'attaques au torse. Je commence à le griffer. D'abord, je ne fais que l'égratigner un peu... On dirait qu'il aime ça ! Je me disais bien qu'il y avait quelque chose de particulier dans sa réaction face à la douleur : il est masochiste, il aime souffrir. Comme j'ai compris ça, je peux y aller plus franchement. Je lui entaille alors véritablement le torse : rien de trop profond pour être vraiment grave mais assez pour le faire terriblement souffrir. J'ai fini avec son torse, voyons le résultat : un humain pathétique, le torse en sang, les bras rouges, les jambes qui pendent lamentablement dans une position improbable. C'est un bon début mais ce n'est pas encore assez : je veux qu'il souffre véritablement pour qu'il comprenne pourquoi il ne doit pas recommencer... Mes pulsions sadiques se réveillent et je compte bien les laisser s'exprimer.

Alors, après l'avoir tabassé, je passe aux choses sérieuses. Je commence par refroidir l'atmosphère jusqu'à -10°C. Vu son état ça devrait déjà être relativement insupportable : le sang par terre commence à geler et lui à s'affoler. Je crois qu'il a compris ce que je m’apprête à faire. Il s'agite de plus en plus et pendant ce temps je me dégourdis un peu.

" Je vais enfin commencer à m'amuser ! Prépares-toi à souffrir ! "

-He bien, je vois que l'on s'amuse un peut partout ici. Cette occupation est assez distrayante ? Je trouve cela un tantinet puéril, m'enfin c'est mon point de vu.

Dis-je au seuil de la porte avec un ton quelque peu prétentieux, & des yeux remplient de mépris.

Il faisait froid, vraiment glacial un démon ayant la possibilité de refroidir tout ce qu'il veut; bhain voyons on m’aurait dit cela de mon vivant je n'y aurais pas cru. La bible avait en un sens raison moi qui prenais de haut tout les chrétiens, je me suis bien gourée...

Dorénavant, je suis bel et bien morte mais étant dans les enfers a cause de certain de mes pêchers, j'évitais en général de me faire remarquer mais bon quand on s'ennuie on s'ennuie !
Bien après être intervenu comme cela sans prendre de précaution ou réfléchir, je demeurais méfiante tout en gardant mon sang froid et mon mépris. Cependant sa tête me disait vaguement quelque chose...

Quel erreur de ma part... l'acolyte de Chikage, mais bien sur, quel poisse. J'étais morte a coup sur... Enfin j'y étais déjà mais je crois qu'une chose pire que la mort m'attendait, bon sang Kazama n'est même pas la...

Bien quitte a insulter un démon tortionnaire autant aller jusqu'au bout, je sentais l'adrénaline, oui un surplus elle s'emparait de moi petit a petit montant de plus en plus. Le regard froid attendant toujours a la même place, je fus déjà stupide de le provoquer mais pas assez pour être a sa porté.

Qui c'est celle-là ? Pour qui elle se prend pour m'interrompre à un moment pareil. Moi qui voulais m'amuser tranquillement, c'est raté. Et puis elle me dit quelque chose... C'est pas la loque qui suit Chikage ? Et pourquoi elle me regarde comme ça ! Elle manque pas d'air à me dévisager comme elle le fait. En même temps, si elle a osé me défier, c'est qu'elle ne manque pas de courage. Au moins, on peut lui accorder qu'elle est cohérente dans sa stupidité.

"Comment tu t'appelles humaine ? Kurenai ? Qu'est-ce que tu fais là ?"

Pendant que je lui parlais, ma victime a recommencé à hurler... Il lui demande de l'aider. Pour qu'il arrête de parler je lui concocte un petit bâillon de mon cru : en glace pure hérissé de pointes pour qu'il continue de souffrir. Ce serait dommage d'interrompre mon œuvre à cause d'une intruse.

"Comme tu m'a dérangé, je vais être clair. Soit tu dégages, soit tu le rejoint. Je suis d'humeur généreuse aujourd'hui."

Je la regarde de haut en bas. Elle est plutôt séduisante mais je ne suis pas là pour ça. Je me retourne vers ma victime. J'espère qu'elle va partir. Je suis en forme mais elle n'a rien fait pour l'instant. Après... Si elle réclame de la douleur, je peux lui en donner...

Je recommences à torturer l'autre en attendant sa réaction. Je finis ça vite pour pouvoir passer à elle si elle décide de rester. Après quelques minutes de torture, une bonne vingtaine, j'appelle quelqu'un pour ramener le premier à l'infirmerie. Il faut dire qu'on marche beaucoup moins bien avec deux genoux déboîtés...

"J'y suis allé un peu fort avec lui, je serais plus doux pour toi."

Elle est vraiment séduisante... Je me retourne vers elle :

"Alors, ta décision ?"

Elle est décidément effrontée et courageuse pour une humaine... Elle commence à m'énerver et puisqu'elle ne se défile pas, je préfère la mater tout de suite. Un simple coup derrière les genoux et elle sera à terre (avec le bon ustensile bien sûr). Une fois neutralisée, je l'attache par le pied droit et je commence.

"On va y aller doucement, au début. Ne t'en fais pas. "

Je préfère la punir tout de suite pour son orgueil et sa stupidité : je lui gèle les extrémités des doigts, pas trop, juste de quoi la faire souffrir. C'est un bon échauffement, si je puis dire. Ensuite, je vais chercher un fouet (avec un crochet, cela va sans dire). Je commence par les jambes, d'abord avec le fouet. Elle va payer son insolence !

"Si tu as mal, ne hurle pas ! C'est ton choix d'être ici, assumes !"

Trois coups suffisent à faire saigner généralement, mais je n'ai pas envie de trop l'abîmer, il se pourrait que je m'en occupe différemment plus tard et je ne voudrais pas gâcher son plaisir... Elle commence à être écorchée, cela suffira pour le moment. Je gèle ses plaies, pour cotériser : c'est souvent bien plus douloureux que de les laisser à l'air libre et en plus, ça la préserve.

"Tu as de la chance d'être aussi belle. Si tu avais été différente, je crois que je t'aurais fait bien pire pour avoir gâcher mon jeu préféré."

Je commence à retrouver mes sensations, il était temps. Bien, passons à la suite. Je préfère l'attacher complètement. Elle serait capable de se défendre vu son caractère... Alors, par quoi je vais commencer ? Un baiser ?

"... Je préfère que cela se passe dans de meilleures conditions. Nous allons rester à la torture pour l'instant, quant à ta demande, je te rappelle que tu es déjà morte. Même pour moi, ce serait dur de tuer un mort."

J'ai décidé d'en rester là avec elle. Elle me plaît bien et je n'ai pas envie de l'abîmer... Disons que nous en resterons au superficiel. Je commence alors à la griffer sur tout le corps, sauf au visage. Ce sang qui coule de sa lèvre est plutôt tentant mais je ne suis pas là pour ça. Le froid semble l'affecter plus que je ne le pensais. Une femme si orgueilleuse serait-elle frileuse ? C'est bon à savoir.

" Nous allons arrêter là ! Disons que le reste viendra en un autre lieu et dans un autre temps. Je refuse de te forcer à quoi que ce soit et je suis très persuasif en d'autres circonstances..."

Je la détache et j'applique un froid vif et bref sur ses plaies, pour qu'elle cicatrise plus vite. Je crois que je pourrais vraiment profiter de sa compagnie et comme elle connaît Chikage, on sera probablement amenés à se revoir. Son caractère de chien a quelque chose de séduisant...

"Va te faire soigner. J'espère te revoir un jour. Tu m'as bien diverti, pour une humaine..."

Pour finir, je ramène la température à la normale. Quelle chaleur ! J'ai peut-être un peu forcé niveau froid...

"Cette séance de torture fut un réel plaisir, surtout la fin."

Je lui vole un baiser et je m'en vais.